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Kunst

How can withdrawal be represented?
How can withdrawal be represented?

Sebastián Eduardo Dávila (Hg.), Rebecca Hanna John (Hg.), ...

On Withdrawal—Scenes of Refusal, Disappearance, and Resilience in Art and Cultural Practices

How can withdrawal—meaning either that which withdraws itself, or which is being withdrawn—be represented, thus made visible and negotiable? This publication takes this paradox as its starting point, which remains present as a tension throughout. The book aims to draw constellations of different instances of withdrawal, ranging from passivity, failure, and refusal to disappearance and remembrance and to resilience and resistance. Understanding withdrawal as a concept that encompasses both cutting ties and reaffirming relations, the contributions collected here trace the...
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About ‘how we treat the others’

Artur Zmijewski

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Motive für ein Neudenken des Bildes
Motive für ein Neudenken des Bildes

Peter Szendy

Für eine Ökologie der Bilder

Die Erfahrung der Zeitlichkeit, wie sie die Naturfotografie ins Spiel bringt, erlaubt eine Annäherung an das Phänomen der Heterochronie. Es dauert hunderte Millionen Jahre, bis sich die Linien der Blutadern eines Insektenflügels aus­bilden, mit dessen Hilfe das Lebewesen blitzschnelle ­Bewegungen ausführt, jenes Lebewesen, das vielleicht ­ nicht ­länger als einen Tag lebt, vergänglich wie der Schlagschatten, der sich durch ein streifendes Licht abzeichnet, den festzuhalten der Fotograf wiederum stundenlang bis zum passenden Moment gewartet haben muss.
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Aktuelle Texte

Jean-Luc Nancy

Après les avant-gardes

Il me semble que le mot « avant-garde » a toujours été pour moi une espèce de souvenir. J’ai dû l’entendre autour de 1960, alors que le surréalisme ne se portait déjà plus très bien. Presque en même temps je découvrais Bataille et Artaud, que n’accompagnait aucune étiquette d’avant-garde. Mais c’est l’ensemble du climat de pensée qui se modifiait de manière profonde dans les après-coups de la guerre.

Les avant-gardes – ou du moins ce nom : il ne s’agit que de son usage – ont eu d’emblée pour moi un goût de passé. D’arrière-garde, en somme. Je ne plaisante pas : je pense que le soupçon porté sur la nature militaire de la métaphore était déjà présent dans le contexte où je découvrais le mot. Pourquoi fallait-il que l’art opère comme une armée ? Il y avait un doute. Ce n’était pas tant l’idée de la lutte ou du combat qui était préoccupante...

ABO DE